À tou-te-s celles et ceux qui envoient leur police, qui réclament plus de répression, qui se “désolidarisent” quand la police tue et mutile des manifestant-es, qui passent plus de temps à pleurer sur quelques vitres esquintées que sur des vies brisées, qui mettent sur le même plan la colère légitime et la violence d’État…
À tou-te-s celles et ceux là : vous avez du sang sur les mains.