
La décision a été prise par les milliers de manifestants de ne pas libérer le périphérique de Nantes comme prévu en milieu d’après-midi et garder bloqué le pont de Cheviré, tant que le gouvernement n’aura pas renoncé à expulser les habitant-e-s de la ZAD.
La ville de Nantes pourrait donc être paralysée dans les jours qui viennent.
Les actions monteront en puissance jusqu’au 13 janvier, jour prévu pour le procès.
Avis à celles et ceux qui peuvent : rejoignez en masse les occupants du périphérique pour tenir bon et bloquer la métropole !
