
Ali Ziri, c’est un vieux monsieur algérien de 69 ans mort en 2009 lors d’une interpellation violente de la police, à Argenteuil. Au terme d’une enquête et d’années de mobilisation, les proches du défunt ont prouvé qu’Ali Ziri avait été frappé et étouffé par les forces de l’Ordre.
La justice empêche donc de faire la lumière sur ce crime. Ce « non lieu » rappelle le classement sans suite après la mort d’Amadou Koumé, un père de famille décédé le 6 mai 2015 après avoir été tabassé par la police, à Paris.
Par temps d’état d’urgence, la police est encore plus protégée.
Contre l’impunité policière et les crimes racistes, toutes et tous dans la rue demain à Nantes, 14H30, Place du Bouffay !
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