Le président le plus détesté de la 5ème République, celui de la “loi travail”, de l’état d’urgence, des guerres et du 49.3 déclare forfait. Il y a deux semaines, son prédécesseur était également éliminé de la course au pouvoir.
Notre époque est celle d’une haine partagée de ceux qui gouvernent, quels qu’ils soient.
Le parti au pouvoir ne peut plus organiser sa propre université d’été à Nantes sans risquer de subir une manifestation monstre. Le premier ministre ne peut plus se déplacer sans une armée de policiers, d’hélicoptères et de Flash-Balls. Partout, les locaux du PS sont dégradés.
À la rentrée, un enterrement du Parti Socialiste a eu lieu à Nantes. Ce soir, le parti de toutes les trahisons est officiellement mort.
C’est sur les cendres de la gauche que renaîtront nos luttes !