Deux morts en quelques mois. Abou était père d’un petit garçon. Justice !

« Abou, lui, fait un arrêt cardiaque. Inconscient, il est transféré à l’hôpital, un poumon perforé et une côte cassée. « C’était le choc, il était branché à une machine. Ses yeux étaient très rouges, se souvient Sylvie. Il portait un gros pansement sur le cou. Personne ne m’a expliqué ce qui lui était arrivé. » Il est finalement décédé, moins d’une semaine après. « On me dit aujourd’hui que les causes sont inconnues. » »
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