À la rentrée, la maîtresse a demandé à mon fils ce que leurs parents faisaient comme métier. Il a répondu : « Mon père est prisonnier politique gilet jaune !
Abdelaziz
Ils m’ont mis en prison pour me détruire, ça a produit l’inverse : j’ai encore plus ouvert les yeux.
Victor
Le militant antifasciste Antonin Bernanos évoque, dans une lettre « beaucoup de gilets jaunes croisés derrière les barreaux, souvent isolés, oubliés et démunis de tout soutien politique extérieur »
« Après la fin des manifestations dans sa région, cette mère au foyer s’est impliquée dans l’écriture de lettre aux prisonniers. En août dernier, elle a créé le groupe Facebook «Un petit mot, un sourire : où écrire à nos condamnés». »
Une longue enquête, puissante, à lire et faire lire, sur les Gilets Jaunes emprisonnés. Et des raisons de ne plus jamais baisser la tête.
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