Il y a un an, les manifestations, occupations, blocages et émeutes se multipliaient dans toute la France. Une génération vivait la révolte sur l’asphalte.
La grande agitation du printemps dernier contre la loi travail n’a pas été mise en échec. Elle inaugure le retour en force de la conflictualité sociale.
À la faveur de cette élection présidentielle, la classe politique apparaît aux yeux de toutes et tous sans fard, telle qu’elle est. Une mafia.
Avis de tempête sur le printemps qui vient !