En fin de semaine dernière, le campus de Nantes était envahi par une centaine de gendarmes et de CRS.
Hier, 14 mai, les partiels qui devaient avoir lieu à l’université de Nantes commençaient dans une salle de concert au sud de la ville, encerclée par des policiers surarmés. Les étudiants ont été matraqués et gazés. Une étudiante a fini aux urgences, avec 5 jours d’ITT. De nombreux étudiants ont refusé de passer leurs examens dans ces conditions.
Ce mardi 15 mai, à nouveau, la police a déchaîné sa violence contre les étudiants et étudiantes mobilisées : charges, gazages, matraquages gratuits, intimidations. Les professeurs accepteront-ils de faire passer des examens dans une situation aussi insoutenable ?
Le gouvernement cherche à briser physiquement toute contestation. Résistons.
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