C’est le décompte officiel du gouvernement le 7 mars. Des chiffres vertigineux.

Cela fait près de 820 tirs de LBD en moyenne chaque samedi, depuis le 17 novembre dernier.
Il y a au moins 2200 blessés recensés, dont 206 à la tête.
Et au moins 22 personnes ont été éborgnées. Elles sont donc mutilées à vie.
Des violences d’État sans équivalent depuis la guerre d’Algérie.
Macron, dans son délire autoritaire, osait déclarer hier : «Ne parlez pas de répression ou de violences policières, ces mots sont inacceptables dans un état de droit. […] Partout où il y a de la violence, j’assume que les forces de l’ordre soient en situation d’une part de se protéger, d’autre part de maintenir l’ordre public.»
Il doit partir.
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