Hier, lundi 8 juin, les «féministes révolutionnaires» de Nantes annonçaient une «action éclair» dans le centre-ville. Vers 19h, plusieurs centaines de femmes ont battu le pavé derrière une banderole «ni passives, ni soumises».
Grosse détermination pour faire passer le mot d’ordre : «quand les femmes s’arrêtent, tout s’arrête» et préparer la grève féministe.
Le cortège a déambulé dans tout le centre-ville avant d’aller jusqu’au commissariat de Nantes protester contre les violences d’État. Les femmes ont crié : «Que fait la police ? Ça crève les yeux. Mais quand on porte plainte, ça ferme les yeux.»
Après le gros défilé contre le racisme quelques heures plus tôt, la journée a été riche en luttes.