Le Parlement emmerde la population


À 5h26 du matin ce 6 janvier 2022, les députés ont voté le «Pass Vaccinal». Le Parlement a donc validé la «stratégie» du président Macron : «emmerder» les non-vaccinés plutôt qu’appliquer de véritables mesures sanitaires.


Alors que l’OMS propose une stratégie du «convaincre plutôt que contraindre» et précise que l’obligation vaccinale doit être un «dernier recours». Alors que des multinationales pharmaceutiques font des profits records sur des vaccins privés sous brevet. Alors que le PDG de BioNTech, qui travaille sur les vaccins Pfizer, explique que «les triple-vaccinés sont susceptibles de transmettre la maladie», qu’il «est évident que nous sommes loin des 95%» d’efficacité et que le vaccin a «une baisse très rapide de l’efficacité, même après trois doses. Après trois mois, celle-ci retombe à 25%».

Pourtant Macron, le gouvernement, la majorité et leurs alliés déguisent une obligation vaccinale sous forme de «Pass», et optent pour une gestion uniquement répressives. La plupart des libertés fondamentales seront remises en cause, numériquement, tous les quelques mois, selon les dernières injonctions «sanitaires» d’un pouvoir criminel.

Dans le même temps, il n’y a toujours pas de purificateur d’air dans les écoles, pas de distribution gratuite de masques FFP2, pas de plan de soutien pour les salariés, pas de moyens supplémentaires pour la santé. Dans le même temps, le gouvernement ferme des milliers de lits, renvoie des soignants, réprime tout ce qui bouge, et détruit l’hôpital public. Ce gouvernement qui nous a menti sans relâche depuis deux ans, sur tous les sujets.

Le «Pass Vaccinal» comme le «Pass Sanitaire» n’ont aucun objectif scientifique ni sanitaire. Il ne s’agit que d’une mesure de contrôle sociale. Une gestion technopolicière de la population, sous couvert d’état d’urgence. Avec l’inscription durable d’une société de contrôle numérique, la voie est ouverte pour un monde entièrement fait de checkpoints, de scannages, de surveillance d’une partie de la population par une autre, un monde de «crédit social» à la chinoise. Un monde de cauchemar.


Ce qui se passe, avec une rapidité ahurissante, «pour notre bien», est gravissime


Faire un don à Contre Attaque pour financer nos articles en accès libre.

Pour ne rien manquer de nos publications, suivez-nous sur nos réseaux