Valérie Oppelt au fond des poubelles de l’histoire
Une bonne nouvelle dans cette soirée électorale sordide. L’infecte Valérie Oppelt, députée Macroniste hardcore de Nantes, qui n’a pas arrêté de réclamer plus de police et de répression dans notre ville, est lourdement éliminée.
C’est Valérie Oppelt qui avait milité pour la dissolution de Nantes Révoltée en janvier dernier. Elle était montée au créneau contre notre média, en multipliant ses diffamations dans tous les médias, et sa demande avait été exaucée par le ministère de l’Intérieur. Qui a dû rétropédaler face à l’immense soutien que nous avions reçu.
Cette députée a évidemment soutenu les pires horreurs du macronisme, de la Loi dite de “sécurité globale” aux ordonnances antisociales, du Pass Sanitaire aux reculs écologiques.
Ces dernières semaines, Valérie Oppelt répète que la NUPES est un groupe «d’ultra-gauche» : une tentative pitoyable de diabolisation pour essayer de se maintenir. Ces gens ne vivent que par le mensonge. Elle même a hurlé sur un plateau télé que le candidat NUPES qui lui faisait face est un «allié de Nantes Révoltée». Tout en affirmant que la police «ne tue pas». Dans la ville où la police a tué trois personnes durant le quinquennat Macron (Steve en 2019, Aboubakar en 2018, et Abou en 2017) c’était son dernier crachat au visage des nantaises et nantais.
Ce soir, la perdante vrille complètement en accusant la maire PS de Nantes d’avoir «signé avec le diable, avec LFI», et ajoute qu’elle a soutenu «un trotskiste assumé, qui veut bloquer le pays et dit que la police tue. Moi je trouve ça insupportable, cette situation m’inquiète terriblement».