À Nantes, la police est sous tension


Quatre personnes, trois fumis et une banderole : la menace est suffisamment grande pour que la police nantaise estime nécessaire de gazer l’ensemble du miroir d’eau, où jouent des enfants.


Un peu plus tard, c’est une personne allongée sur un espace piéton qu’il faut d’urgence évacuer.

Enfin, un vélo tente de s’en prendre à la maréchaussée : il sera brutalisé comme il se doit.

Deux fois plus de policiers que de manifestant-es pour la marche antifasciste d’aujourd’hui : le pouvoir est fébrile.

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