Contre la solidarité internationale, une répression globale


Des Pays-Bas à l’Italie, de la Grèce à la France, les mêmes scènes de violences d’État se répètent contre les mobilisations en cours :


  • Le 9 mai à Venise, alors qu’une réunion des ministres de la justice du G7 avait lieu dans la ville italienne, un cortège pour Gaza a été chargé par les carabinier.
  • Le 7 mai à Athènes, une calme manifestation pour Gaza a été réprimée avec une particulière brutalité.
  • Le même jour à Berlin : la polizei a expulsé un campement pro-palestinien sur le campus de l’Université Libre de la capitale allemande. Coups, plaquages, humiliations et arrestations sur des étudiants pacifistes.
  • Le 13 mai à Amsterdam, la police Hollandaise s’est déchaînée sur les étudiant.e.s qui se mobilisent pour la Palestine depuis une semaine. Une pluie de matraque et des tabassages au sol ont été filmés.
  • Même à Tel Aviv, un cortège d’israéliens contre l’attaque de Rafah a été violenté par les forces de l’ordre.

Un front international contre la guerre et le génocide se dessine. Et partout en Occident, les gouvernants sont soudés derrière l’extrême droite israélienne et lâchent leurs chiens.


Nos dirigeants font corps dans le camp colonial, internationalisons nos résistances.


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