Comme promis, d’autres images d’un samedi historique contre l’aéroport et son monde. Une quatre voies occupée de 10H à 21H par une foule hétérogène de dizaines de milliers de personnes qui peignent, chantent, jouent, construisent, échangent sur l’asphalte.
L’endroit le plus aride qui soit, celui des flux, du macadam, des camions et du pétrole, est redevenu vivable, et même festif pendant une journée. Les glissières d’acier qui longent la route en tremblent encore.
Il n’y aura pas d’aéroport à Notre-Dame-des-Landes.