Deux articles parus aujourd’hui dans la presse à ce sujet
Il y a un an, la police blessait des centaines de personnes lors des manifestations contre la loi travail. 11 personnes réunies au sein de l’assemblée des blessés par la police à Nantes déposaient plainte collectivement. En un an, la situation s’est encore aggravée, avec le viol de Théo, la mort d’Adama, les manif interdites et encore récemment un policier qui a braqué son arme à feu sur un cortège à Rennes.
Le parquet de Nantes vient de classer sans suite ces plaintes. Le motif ? “Les faits ne sont pas punis pas la loi” ! L’aveu est on ne peut plus clair : la justice couvre la police.
Collectivement, les blessés comptent continuer à porter ce combat, dans les tribunaux comme dans la rue.
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