
Alors que l’État organise des enquêtes monumentales pour traquer les manifestants ou fabriquer des faux « terroristes d’ultra-gauche », et enferme des contestataires par dizaines, les agressions fascistes continuent de bénéficier d’une totale impunité.
Une agression raciste commise en bande organisée le 31 mars dernier, à Nantes, est déjà enterrée par la justice. L’attaque d’un squat de migrants en 2015 à coups de cocktails molotov n’avait jamais été poursuivie non plus. Pas plus que l’agression armée des occupants solidaires du Château du Tertre l’hiver dernier par un commando d’extrême droite. Que fait la justice ? Ça crève les yeux.
Une mention spéciale aux raclures de Presse-Océan qui trouvent quand même le moyen d’envoyer dans l’article un crachat sur « les militants d’extrême gauche ».
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