Le week-end dernier à Marseille, plusieurs dizaines de caméras ont été sabotées ou recouvertes de peinture, en réponse à la reconnaissance faciale et la surveillance généralisée permises à la loi «sécurité globale».
Une personne a été arrêtée, mais les peintres revendiquent une «opération réussie» et annoncent : «la lutte n’est pas finie». Une action créative, efficace et pas chère.
Les auteurs de cette initiative s’opposent à «un monde contrôlé par des technologies intrusives au service d’une surveillance accrue de toute forme de contestation».
Via : Marseille Révoltée