Un mur peint en blanc. Des bombes de peinture. Une échelle. Et liberté d’expression. C’est l’initiative du collectif Black Lines dimanche 10 avril à Paris, près d’un bureau de vote, un jour d’élections.
Parce que nos idées, nos colères, nos espoirs et nos luttes ne rentreront jamais dans une urne, l’idée était de redonner la parole aux passants, directement dans l’espace public. Belle idée !
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