Palestine : répression coloniale et crimes de guerre


Dans le silence de la communauté internationale, la colonisation israélienne se poursuit dans une violence inouïe


En plein Ramadan, la mosquée al-Aqsa à Jérusalem a été envahie par l’armée israélienne. Les forces armées ont tiré des grenades explosives et lacrymogènes sur les fidèles. 152 blessés. Sur l’esplanade des Mosquées et dans le reste de la ville Sainte, le harcèlement des palestiniens est quotidien, avec des images de femmes frappées, d’un père de famille agressé devant son fils, ou d’un journaliste passé à tabac, qui repart sur un brancard.

Le 15 avril, un adolescent palestinien était tué par des tirs de l’armée israélienne dans une ville proche de Jénine. Le même jour, un enfant palestinien était blessé et arrêté par les forces d’occupation israéliennes lors d’affrontements entre l’armée israélienne et des manifestants palestiniens à l’entrée du village de Qarawat Bani Hassan, dans la province de Salfit. Les soldats ont tiré à balles réelles sur les civils.

Après cette escalade de violences coloniales, l’aviation israélienne a bombardé cette nuit la bande de Gaza. Au moins 4 missiles ont été lancé, tandis que la marine de guerre israélienne ouvrait le feu sur des pêcheurs dans les eaux de Gaza.


La vie des palestiniens et palestiniennes est un enfer. Qui en parle ?


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