Un tag vu à Nantes, près du commissariat central, synthétise la barbarie de l’époque.
Ces derniers jours, les peines de prison ferme pleuvent sur celles et ceux qui ont osé se révolter contre l’ordre policier et le racisme. Des années d’enfermement, distribués à la chaîne, pour un petit vol, une poubelle brûlée ou un feu d’artifice.
En parallèle, l’agent assermenté et payé par l’État qui a exécuté un jeune mineur d’une balle en plein cœur est millionnaire, récompensé par une cagnotte lancée par l’extrême droite et relayée par les réseaux policiers.