Derrière les chiffres, effroyables, du génocide en cours à Gaza – autour de 186.000 morts directes et indirectes de l’opération d’anéantissement israélienne – il y a des noms, des visages, des histoires de vies. Un enfant qui jouait au football, un frère et une sœur âgés de 3 et 1 an, un journaliste, une étudiante, un infirmier… Dont les vies ont été arrachées par un régime colonial et fasciste.
Ne se contenter que de données chiffrées et abstraites est une façon de déshumaniser ces palestinien-nes. Les médias occidentaux nous ont abreuvé pendant des mois des récits israéliens, en leur donnant la parole, en montrant partout le visage des captifs, en racontant leurs peines… Ils n’ont jamais fait de même pour les dizaines de milliers de victimes de Gaza, qui restent sans visages, sans noms, sans intérêt.
Une campagne internationale baptisée «des visages, pas que des nombres» a ainsi été initiée. À Nantes, un grand mur a été recouvert de dizaines de ces portraits.
Vous pouvez retrouver la campagne pour agir chez vous sur ce site.
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