
- Paris : 14h place de la République
- Nantes : 15h place du Bouffay
- Bordeaux : 13h15 place de la Victoire et 19h30 place de la Victoire : Marche féministe radicale
- Rennes : 15h esplanade Charles de Gaulle
- Marseille : 14h30 Vieux port
- Toulouse : 15h capitole
- Lyon : 15h place Bellecour
- Lille 14h place du théâtre
Et partout en France… grève féministe !
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Une réflexion au sujet de « 8 Mars : dans la rue contre le patriarcat »
Bonjour Contre Attaque, comme partout en France, à Rouen la manifestation contre le patriarcat a été suivit par les syndicats, les orgasations politiques de gauche et les collectifs . Le parcours a commencé place du Vieux Marché où l’identitaire Lyonnais Sinisha Milinov était installé en terrasse avec ses ami.e.s fachistes, iels mangeais tranquillement en jetant un coup d’œil sur le rassemblement tout en envoyant des messages avec leurs portables . Ensuite le cortège est partie à travers les rues pour rejoindre la place de la Cathédrale où la manif à marqué un temps d’arrêt pour les prises de paroles. Pendant ce temps le SO était très actif les fafs tournaient autour de la manif pour prendre des photos, essayer de perturber, tenter une action, mais l’organisation tenait la route et leur a posé quelques difficultés. Le cortège est ensuite reparti à travers les rues jusqu’à la place de l’hôtel de ville où une vingtaine de fafs c’étaient placés à la terrasse d’un bar qui diffusait le match de Rugby France Irlande, pendant que d’autres tournaient autour du rassemblement qui prenait fin dans une ambiance festive. D’autres fascistes ( les keufs) ont pendant ce temps arrêté un jeune qui a utilisé un pochoir et de la peinture pour inscrire « Habitantes des Rues » sur un monument devant l’hôtel de ville. Ces batards c’était la BAC avec à ses côtés une armée de flicaillons qui riaient comme des cons devant la situation. Un petit groupe s’est formé pour dire au flics que le pourrissement de la ville par les tags et les stickers des fafs ça ne pose aucun problème aux pouvoirs publiques mais quand un jeune vient s’exprimer sur un petit coin de monument avec de la peinture qui peut partir avec un nettoyage à l’eau, on lui pourrit la vie. ACAB, les keufs l’ont fait
monter dans leur véhicule pour effectuer un contrôle d’identité au commissariat, mais avant nous lui avons remis les coordonnées d’une avocate et récupéré sont contact.