Lors d’un déplacement à Calais ce mardi 16 janvier, le président Macron prononçait devant les journalistes un discours dans lequel il assume sa politique de durcissement supplémentaire à l’égard des exilés.
Après avoir attaqué les associations de solidarité avec les réfugiés, le président déclarait : “je ne peux pas laisser accréditer l’idée que les forces de l’ordre se livrent à des violences physiques”.
Bientôt, ce gouvernement qui prétend lutter contre les “fake news” déclarera qu’il ne “peut accréditer l’idée que les patrons s’enrichissent sur le dos des travailleurs” ?