La Justice s’acharne sur celles et ceux qui luttent, mais épargne les fascistes
En mai 2017, trois militants néo-nazis bien connus avaient commis des agressions racistes à Angers : injures raciales, coups et blessures. Ils avaient recommencé le lendemain à Nantes.
Deux ans plus tard, deux d’entre eux ont été tout simplement relaxés. L’un pour une « erreur procédurale du parquet ». L’autre, au « bénéficie du doute ».
Alors que les Gilets Jaunes sont arrêtés et condamnés par milliers à des peines extrêmement lourdes en comparution immédiate, et la plupart du temps sans le moindre début de preuve, l’extrême droite bénéficie d’une totale impunité, garantie par la justice.
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