Le 18 février à Florence, au centre de l’Italie, une quinzaine de fascistes ont tabassé trois jeunes lycéens identifiés comme étant de «gauche» devant leur établissement avant le début des cours.
En Italie, l’extrême-droite de Giorgia Meloni est au pouvoir, et ses milices sont de plus en plus présentes et violentes dans les rues.
Pas question de se laisser terroriser. Trois jours plus tard, une grosse manifestation nocturne antifasciste a pris les rues de Florence, encadrée par un important dispositif de police, avec un hélicoptère qui survolait le cortège étudiant.
En France comme en Italie, l’extrême droite n’est forte que de nos faiblesses, ne leur laissons pas le terrain.