Pour Nahel, mais aussi pour Aboubacar, tué par la police nantaise en 2018, pour Steve, tué par la police nantaise en 2019, pour Adama, Zyed, Bouna, Rémi, Wissam, Cédric et les trop nombreuses vies volées par la violence d’État. Pour les mutilé-es, les blessé-es, les arrêté-es. Pour toutes celles et ceux qui refusent l’écrasement répressif.
Rendez-vous ce vendredi 30 juin, 20h, Préfecture de Nantes. Convergeons.