1er Mai en France : fête de la matraque


Pendant que les médias répètent qu’un petit chahut contre le candidat Glucksmann ou quelques vitrines de banques cassées seraient des violences inadmissibles, aucun d’entre eux n’a montré au grand public les violences policières qui se sont abattues, une fois de plus, sur les cortèges.


À Paris et à Lyon particulièrement, les manifestations du 1er mai ont subi un déferlement de violences : charges incessantes, matraquages à outrance à hauteur de tête, coups de poing, arrestations de médics, jets de grenades explosives en l’air, attaques de cortèges syndicaux… Les charges très violentes avaient généralement pour but de voler les banderoles du cortège de tête tout en terrorisant l’avant des manifestations.

Voici en images un aperçu du niveau de violences d’État devenues «ordinaires» sous Macron, et auxquelles il ne faut jamais nous habituer.

Sur Twitter, le photoreporter Olivier Goujon souligne : «Depuis plus de 20 ans je fais toutes les grandes manifs à Paris et à Milan. Pour le job, j’en ai couvert en Iraq, Syrie, Somalie, Ukraine, Turquie… J’affirme que la police française est la plus violente que j’aie jamais vue».


Images : @enzo.rabouyy , Thimotée Forget, Clément Lanot, CND, wildagaby, Jules Ravel, Laawnik

Faire un don à Contre Attaque pour financer nos articles en accès libre.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *